Le coin des 4èmes

nouvelles fantastiques 4ème 2 suite

Par MARIANNE BOE-BAJONCZAK, publié le lundi 4 février 2019 14:12 - Mis à jour le vendredi 8 février 2019 10:35

La suite des nouvelles fantastiques des 4 èmes 2 !

La maison possédée

 

 

 

Il y a deux ans, me raconta un ami, qu’il entra dans une maison. Il découvrit qu’il n’y avait personne. Il avait un pressentiment que quelque chose n’allait pas dans cette maison. Il entendit du bruit, un bruit si fort qu'il avait résonné dans toute la maison. Il entra dans une cave il y avait une personne, une fille le fixa, elle était étrange comme possédée, il voulut l’aider. Elle l’attaqua mais il réussit à s’enfuir mais c’est ce qu’il pensait à chaque fois qu’il touchait la porte : elle l’attrapait, à chaque fois, c'était la même chose.

Un jour deux femmes entrèrent dans la maison et entendirent du bruit, elles allèrent dans la cave et virent un homme attaché à une chaise. Elles voulurent le détacher, elles ne purent pas c'était trop dur. Elles trouvèrent un couteau pour couper les attaches, mais ce couteau était cassé. Elles n'avaient pas d'autres solutions.

Elles prirent la lame qui n'était pas aiguisée. Il fallait donc trouver un outil pour aiguiser cette lame.Elles trouvèrent un aiguiseur de lame avec lequel elles aiguisèrent cette lame. Elles utilisèrent la lame pour détacher l'homme. Soudain il se réveilla. Ce n’était qu’un cauchemar me dit-il ? Mais en se réveillant il vit nettement par la fenêtre de sa chambre les deux femmes de son cauchemar.

 

   

La bibliothèque maléfique

 

Un jour, trois jeunes B.,T. et X. décidèrent d’aller dans une bibliothèque sans se douter qu’elle était ensorcelée.

Ils avaient entendu des histoires mais ils se sont dits qu’elle était normale et ils sont entrés dedans. Il y avait des livres, beaucoup de livres et aussi des toiles d’araignée, des toiles énormes. Plus ils s’enfonçaient dans le noir munis d’une simple lampe de poche, les trois jeunes ne se doutaient pas qu’il resterait encore des livres. Ils pensaient qu’ils avaient été enlevés et qu’il ne restait que des étagères et des toiles d’araignées. Là, ils entendent un bruit étrange, semblable à une femme ou un homme criant de peur ou de souffrance.

 

Ils décidèrent d’aller quand même mais deux d’entre eux avaient peur et hésitaient à avancer, ils se dirent :

«  Mais si il y a des esprits maléfiques dans la bibliothèque et qu’ils nous capturent ou pire

- Moi je ne prends pas le risque de m’y aventurer !

- Si vous n’y allez pas, moi j’y vais tout seul ! »

Comme ses deux amis ne voulaient pas venir, B. décida de continuer tout seul. Plus il s’enfonçait plus il faisait froid et sombre. Comme il n’y avait rien, il appela ses amis mais ils ne répondirent pas. Il décida de faire demi-tour pour allé les chercher mais a mis chemin il vit une ombre. Il se mit à courir pour sortir plus vite mais s’ arrêta, sa lampe n’avait plus de batterie. Il leva la tête et vit deux yeux rouges, rouges comme le sang. Une bête avec des dent immense jaillit sur lui, l’assomma et l’emmena dans son repère. Quand il se réveilla, il vit un homme et une femme qui étaient déjà là, capturé eux aussi par le monstre. Il leur demanda si la bête leur avais fait du mal et ils répondirent que oui. Les hurlements qu’ils avaient entendu, ça devait être eux. Il appela a nouveau ses amis mais toujours pas de réponse. Il semblait qu’ils étaient partis. Le lendemain, quand il fit jour, ses deux amis revinrent à la bibliothèque mais pas de signe de lui. Ils pensèrent qu’il était rentré chez lui. Mais en partant, ils entendirent crier, c’était lui qui hurlait de peur et de souffrance.

«  il faut qu’on aille l’aider ! se dirent-il

- mais on ne sait pas ce qu’il y a à l’ intérieur.

- si on rentre et que nous aussi on se fait prendre, personne ne viendra nous chercher

- tu as raison, il faut aller prévenir quelqu’un !

- oui, allons y vite avant qu’il ne soit trop tard !"

 

                                      M

 

 

 

 

 

Le faux coma

 

On était Mardi matin , je me rendis au travail, je passai à la boulangerie puis je traversai une rue juste devant mon bureau , soudain j’ eus une image dans ma tête , l’ image de la rue, celle qui était devant mon bureau, puis tout d’ un coup un flash lumineux et puis rien .

Cette vision dans ma tête semblait tellement lointaine , j’ avais un vague souvenir de ce flash, de cette rue . Mais l’endroit dans lequel je me trouvais n’ avais rien à voir avec cette rue .C’ était une colline avec tout autour une grande forêt . Je me retournais et je vis un immense manoir, il ne me semblait pas réel mais il m’ attirait . Alors je m’enfonçais dans la forêt en direction de ce manoir . Je marchais déjà depuis deux bonnes heures , et quelque chose avait changé , la forêt était devenue de plus en plus dense, si bien que l’ on n’ apercevait presque plus le ciel et la lumière du soleil peinait a traverser les feuillages des arbres , mais étrangement mon envie de rejoindre le manoir grandissait, alors je continuais . J’arrivais enfin devant les portes du manoir , Je frappais …

 

J’ entendis le déclic de la porte qui se déverrouille , j’ hésitais , est-ce que je devais rentré ? Au bout d’un moment je pris ma décision et je rentrai. Les portes donnaient sur un long couloir plongé dans le noir , il y avait une porte au bout. Je commençais à avancer , quand tout d’un coup les torches au murs s’ allumèrent . Je me sentais moins … serein. Mais je me rendis quand même à cette porte et je l’ouvris . Derrière il y avait une grande salle , avec une cheminée allumée , sur une table il y avait un dîner encore chaud . Mort de faim je commençais a manger. Mais pris de fatigue, je m’endormis .

 

Quand je me réveillai, j’étais dans une chambre, avec au bout un homme assis sur une chaise qui me regardait il se leva , je commençais vraiment à avoir peur . Il sortit de la chambre en laissant la porte ouverte , je sortis à mon tour . J’ étais au bout d’un long couloir … un très long couloir . Au bout j’ aperçus deux petites silhouettes blanches , immobiles. Je m’ avançais vers eux quand tout d’ un coup elles disparurent , j’ entendis un craquement derrière moi , puis une main sur mon épaule . Pris de peur, je m’enfuis à tout vitesse je trouvai enfin la sortie , je me retrouvai dehors et j’entendis la porte du manoir claquer . Je regardai la porte les deux silhouettes blanches et l’ homme de la chambre étaient sur le perron je recommençai à courir dans la forêt . La forêt qui m’avait attiré vers l’allée, m’ effrayait maintenant je trébuchai sur une racine, en tombant je me plantai une grosse pierre dans la jambe. Je poussai un cri de douleur . Je me relevai non sans peine . J’ arrivai enfin à la colline mais j’ étais à bout de force , je m’ évanouis.

 

Quand je me réveillai , j’ étais dans une chambre d’hôpital . Je sentis une effroyable douleur au niveau de ma jambe, je relevai les draps de mon lit et je vis une grosse plaie à l’endroit où je m’ étais planté la pierre .

 

 

fin     V

 

 

             L’enfant du valhalla

 

J’étais à ce moment là un enfant , on était trois : moi le cadet , mon grand frère le benjamin, et ma grande sœur l’aînée . On était une famille pauvre , on habitait dans la campagne éloignée des royaumes. Un jour alors que je pensais que tout été normal , une rumeur commença à faire le tour du royaume, un voyageur frissonnant de peur avait prétendu voir un enfant possédé qui parlait en criant « je ne peux pas faire cela je suis un esprit libre » . le roi Alfred seigneur du Wessex voulait savoir à quoi ressembler cet enfant , alors le voyageur lui dit que le garçon avait les cheveux châtains, les yeux bleus , cette description ressemblait exactement à moi, alors le roi fit venir tous les garçons de cette description , alors je fus enlevé par les gardes du roi , le voyageur nous regardait un par un avec insistance , et il arrêta son regard sur moi et dit « j e les vus parler avec un esprit libre» , d’un coup une colère monta en moi , et d’un coup un écran noir et je me réveillai dans une chambre ou quatre personnes étaient debouts devant moi qui disaient « il est revenu parmi nous » et un écran noir resurgit , et je resurgissais dans le palais mes yeux devenaient bleus , et je commençai à me soulever dans les airs , un éclair me frappa d’un coup sec , et je fus dans un écran noir , une voix apparut , elle disait « tu vas t’en sortir , tu vas te réveiller tu va combattre cette maladie » . J apparus dans une grand salle avec plein de personnes qui étaient inconnues pour moi mais un homme m’appela et me dit «  tu es  Valhalla, ton corps se repose et se soigne, tu vas te soigner, il faut de la patience » . Et je me retrouvai dans un lit d’hôpital allongé sur un lit avec des personnes qui souriaient en criant il est de retour !

                                                 FIN               VM

 

     L' étrange Rêve

 

Ce fut une après midi où mes amies m’ont rendu visite, nous avons été faire les boutiques. Nous nous sommes posées dans un petit café très chic , et nous avons commencé à raconter nos souvenirs. Ce fut le tour de mon amie.

Il y a trois ans, dit-elle je rendis visite à ma grand-mère , je me promenais dans la maison de ma grand-mère , je cherchais des vieux souvenirs de mon enfance. Je remarquai que toutes les nuits, je faisais un rêve étranges. J’apercevais de loin une immense maison, en me rapprochant je vis la maison de ma grand-mère, elle était devenue toute noire. A gauche de la maison, j’apercevais mon grand-père qui était pourtant décédé.

 

Dans mon rêve il se baladait autour de la maison, je m’avançais vers lui, je le suivait, je lui parlais mais il ne me répondait pas. En le suivant nous sommes rentrés dans cette maison. Il y avait ma grand-mère qui n’était pas comme d’habitude, elle était très effrayante, elle avait un regard très sombre elle me fixait sans cligner des yeux. Elle s’avança vers moi et je me réveillai en sursaut .

 

Tel était mon rêve et il se répéta toutes les nuits, donc je finissais par penser que ce rêve était un souvenir de mon enfance, que j’avais oublié. J’essayais d’en savoir plus sur ce fameux rêve, j’essayais de me renseigner auprès de mes proches, mais aucun résultat. Personne ne croyait en ce fameux rêve, on me disait que ce n’était qu’imaginaire et que je l’avais inventé. Je commençais par croire que ce rêve était vraiment le fruit de mon imagination. Quelques jours plus tard je repris mes recherches depuis le début, je cherchais partout des souvenirs dans toutes les chambres , le grenier , la cuisine et enfin je commençai par perdre espoir. Donc je suis allée prendre l’air dans le jardin, et en marchant j’ai senti quelques chose de très dur au- dessous de ma chaussure.

 

Je décidai de creuser pour découvrir ce qui était caché sous la terre . Je vis une boite et en l’ouvrant, je trouvai des vieux souvenirs de mon enfance .

En regardant les photos de plus près je voyais mon rêve, celui que je faisais tous les soirs.

 

 

 

 

Ilona 4e2

 

 

L’ homme tueur :

 

 

Bonjour, je m’appelle Lana et il y a 3 ans de cela, je me promenais au bord de la plage avec Solène mon amie d’enfance, et une énorme tempête éclata . Nous avions voulu nous réfugier dans un café aux fenêtres rondes et rouges et je me rappelle d’une serveuse jeune sûrement 20 ans et elle était blonde. Mais en partant vers le café, Solène se fit bousculer par une personne et se fit emporter par une énorme vague car je ne pus la rattraper, je fus expulsée du bord de la plage à cause de toutes ces personnes qui poussaient et pas une seule personne de cette foule ne prêta attention à une jeune en déstresse qui est en train de se noyer. Quand je réussis enfin à parvenir au bord de la plage Solène avait disparu .

Quelques mois plus tard, après cet incident, je ne sais pourquoi , je voulais venger mon amie Solène.

Je retournais chaque jour, chaque fois que je pouvais, à l’endroit exacte de sa mort où la personne inconnue avait poussé mon amie dans les vagues qui étaient devenues pour moi les vagues de l’enfer.

Suite à mes retours à la plages je faisais une sorte de cauchemar, en m’endormant, comme si je revivais ma journée mais au ralenti, ce qui me permettait de voir des détails que je n’avais point vus en temps normal . Et ce qui était étrange c’est que je me souvenais de tout ce que je rêvais, c’est du dernier rêve que je fis dont je vais vous parler aujourd’hui :

Je me trouvais avec Solène au bord de la plage, un homme avec une veste Nike bleu ciel et orange, des claquettes blanches et un survêtement Adidas noire à bandes blanches, se trouvait à côté de nous depuis que nous avions passées la barrière de chez Solène, car oui elle habitait à deux pas de la plage. Cet homme d’une trentaine d’année je pense avait été rejoint par une femme et trois enfants de notre âge .

En voyant que même si nous nous décalions ils nous suivaient, et par peur nous

partîmes dans un café non loin de la plage où nous nous trouvions et le groupe de personne nous suivaient encore, en entrant dans le café qui je me souviens se nommait CAPPUCCINO donc évidemment le groupe nous suivit jusque dans le café mais la serveuse s’était mit à crier ces mots exactement :

« quand tu en auras assez de revenir dans mon café, tu pourras me faire signe, car oui tu le sais très bien que je t’avais dit de ne pas revenir après se que tu m’avais fait et comme par hasard vue que tu ne m’écoutes jamais, tu es revenu et avec ta femme et nos enfants tu es vraiment un petit crétin, pars de la immédiatement ou j’appelle la police ! »

En même temps qu’elle criait, elle nous mit à côté du bar.

Quand le groupe de personne partit, Solène demanda pourquoi ils nous avait suivit jusqu’ici.

La serveuse qui se nommait Joanna nous expliqua

« Une année j’ avais rencontré un homme Louis, quand j’ avais 10 ans et lui 12 ans, nous étions devenu meilleurs amis mais nos parents ne s’aimaient pas, ce qui nous obligeaient à nous voire la nuit en cachette de tout regard.

A l’âge de mes 15 ans mes parents apprirent notre relation amoureuse car ça faisait à ce moment 2 ans que nous sortions ensemble.

Nous fûmes donc interdits de sortie pendant 3 mois et ma fenêtre et ma porte de chambre étaient fermés à clé .

Un jour où j’allais au lycée je recroisai Louis et il me dit que ce soir- là nous serions libres, je ne compris pas mais le soir vers 22h j’entendis des coup de feu et quelqu’un entrer dans ma chambre, c’était Louis, il avait tué mes parents donc pour ma défense, je le frappai de toute mes forces et il mourut fin c’est ce que je pensais 3 semaine plus tard un appel d’une personne me donnant rendez-vous devant chez mes grand parents et à ce rendez-vous je reçus une balles dans le genoux mais personne ne se trouvait devant moi .

Je pense que ces personnes vous ont suivie car ils savaient que vous viendrez vous réfugiaient dans le café où je travaille mais surtout ne parlez à personne de se que je vous dis ou vous mourrez , c’est un conseil . »

Je me rappelai ensuite que Solène avait était bousculée mais personne ne l’avait touchée.

Était-ce un fantôme ?

 

Fin .              Romane